Quand les mots dépassent la pensée
C'était beau c'était bien
C'était l'aube, le matin
Mais d'une larme chaude qui noie mes joues je fuyais
Ces mots que tu m'avais dis, qui m'avaient heurtés.
C'était lourd, c'était sourd
C'était comme du velours
Ce confort que tu me procurais
Aurais-je un jour la chance de le retrouver?
C'était froid, c'était mieux
C'était toi, c'était creux
Tu tombes dans l'oublie à ne jamais te rapeller
Que les blessures profondes ne peuvent cicatriser
Le pansement qui pensera mes pensées aura t'il le bon effet?
A trop vouloir se soigner l'on fini par s'empoisonner...